La sardine qui a bouché le port de Marseille

La sardine qui a bouché le port de Marseille
Il était une fois, dans la belle ville de Marseille…
(Voix douce et mystérieuse, faire un geste large avec les mains)

Un tout petit poisson, une sardine pas plus grande que ton pouce.
(Montrer la taille avec les doigts)

Un jour, cette sardine curieuse décida d’explorer le grand port.
(Mimer un poisson nageant avec la main)

Soudain, elle entendit un gros « BOUM! »
(Dire « BOUM » plus fort, faire sursauter légèrement l’enfant)

Oh là là ! Un énorme bateau de guerre venait d’arriver !
(Ouvrir grand les yeux, l’air surpris)

La petite sardine, effrayée, se cacha dans une bouteille.
(Mimer le geste de se cacher)

Mais la bouteille, poussée par les vagues, roula, roula…
(Faire un mouvement de roulement avec les mains)

…et se coinça dans l’hélice du gros bateau !
(Faire un bruit de « clic » avec la langue)

Le capitaine cria : « En avant ! »
(Prendre une voix grave et forte)

Mais le bateau ne bougea pas d’un poil !
(Secouer la tête de gauche à droite)

Tous les marins poussèrent, tirèrent, mais rien n’y fit.
(Mimer l’effort de pousser)

Le port était bouché à cause de la petite sardine !
(Chuchoter, l’air complice)

Finalement, un plongeur courageux alla voir sous l’eau.
(Mimer le geste de plonger)

Il trouva la bouteille et libéra notre amie la sardine.
(Sourire, l’air soulagé)

La sardine, reconnaissante, promit de faire attention.
(Hocher la tête, l’air sage)

Et depuis ce jour, elle nage prudemment dans le port,
Heureuse d’avoir vécu une si grande aventure !
(Terminer avec un grand sourire)

(Chuchoter) Et maintenant, comme notre petite sardine,
il est temps de fermer les yeux et de se reposer…
(Caresser doucement la tête de l’enfant)

Robinson Crusoé

Robinson Crusoé
Voici une version courte et adaptée de Robinson Crusoé pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour le conteur :

Il était une fois un jeune homme nommé Robinson.
(Voix enthousiaste) Il rêvait d’aventures et de voyages en mer !

Un jour, Robinson décida de partir en bateau.
(Geste large avec les bras) Mais soudain… une énorme tempête !
(Voix forte, agiter les mains) Le bateau tanguait dans tous les sens !

CRACK ! Le bateau se brisa.
(Chuchoter) Robinson se retrouva seul sur une île déserte.

(Voix triste) Il était triste et avait peur.
Mais Robinson était courageux !
(Voix déterminée) Il construisit une petite maison et chercha de la nourriture.

Un jour, Robinson vit une empreinte de pied dans le sable !
(Ouvrir grand les yeux, air surpris) Qui était-ce ?

C’était Vendredi, un homme de l’île voisine.
(Sourire) Ils devinrent amis et s’entraidèrent.

(Voix excitée) Après de nombreuses années, un bateau passa près de l’île !
Robinson et Vendredi firent de grands signes.

(Voix joyeuse) Hourra ! Ils furent sauvés et rentrèrent chez eux.
Robinson était heureux, mais il n’oublierait jamais son aventure sur l’île.

(Voix douce) Et c’est ainsi que se termine l’histoire de Robinson Crusoé.
Fais de beaux rêves, mon petit aventurier.

(Terminer en chuchotant et en caressant doucement la tête de l’enfant)

Affaire du pain maudit de Pont-Saint-Esprit

Une boulangerie avec plusieurs personnes qui regardent du pain, la nuit.


Voici une version adaptée de l’histoire pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes :

Il était une fois, dans un joli village appelé Pont-Saint-Esprit…
(Parler doucement, faire un geste circulaire avec les mains pour décrire le village)

Les habitants adoraient manger du bon pain tout chaud. Miam miam !
(Frotter son ventre et faire semblant de croquer dans du pain)

Mais un jour, quelque chose de bizarre arriva…
(Prendre un air mystérieux, baisser la voix)

Les gens qui avaient mangé le pain commencèrent à se sentir tout drôles.
(Faire semblant de vaciller, l’air étourdi)

Certains voyaient des choses qui n’existaient pas !
(Ouvrir grand les yeux, l’air surpris)

D’autres dansaient et chantaient sans s’arrêter.
(Faire quelques pas de danse maladroits)

Le docteur du village était très inquiet.
(Froncer les sourcils, l’air préoccupé)

Il dit : « Il faut trouver ce qui rend le pain magique ! »
(Prendre une voix grave et déterminée)

Alors, des enquêteurs sont venus de la grande ville.
(Mimer quelqu’un qui cherche avec une loupe)

Ils ont cherché, cherché, et cherché encore…
(Répéter le geste de la loupe plusieurs fois)

Et tu sais quoi ? Ils ont découvert que c’était à cause d’une toute petite graine !
(Chuchoter, l’air complice)

Cette graine s’était glissée dans la farine par accident.
(Faire un geste furtif avec la main)

Heureusement, tout le monde a vite guéri.
(Sourire et hocher la tête)

Et depuis ce jour, les boulangers font très attention à leur farine.
(Mimer quelqu’un qui tamise de la farine avec soin)

Comme quoi, même un tout petit grain peut créer une grande aventure !
(Terminer avec un clin d’œil et un sourire)

Et maintenant, il est temps de faire de beaux rêves, tout comme les habitants de Pont-Saint-Esprit.
(Baisser progressivement la voix, faire un geste apaisant)

Max le Fou

Mad Max
Il était une fois, dans un grand désert poussiéreux, un brave policier nommé Max.
(Faire un geste large pour montrer l’étendue du désert)

Max adorait conduire sa jolie voiture brillante et protéger les gens gentils.
(Mimer un volant entre les mains)

Un jour, des méchants très vilains ont décidé de voler toute l’eau et l’essence !
(Prendre une voix grave et menaçante)

Les gens avaient très soif et ne pouvaient plus faire rouler leurs voitures.
(Mimer quelqu’un qui a soif en tirant la langue)

Max était très fâché contre ces méchants. Il décida de les arrêter !
(Froncer les sourcils et serrer les poings)

Il monta dans sa super voiture rapide et traversa tout le désert.
(Faire le bruit d’un moteur qui vrombit : « Vrooooom ! »)

Sur la route, il rencontra une gentille dame guerrière nommée Furiosa.
(Prendre une voix douce et enjouée)

Furiosa voulait aussi arrêter les méchants. Ils devinrent amis !
(Sourire et mimer une poignée de main)

Ensemble, ils affrontèrent les vilains dans une grande course-poursuite.
(Faire des gestes rapides avec les mains)

C’était difficile, mais Max et Furiosa étaient très courageux.
(Prendre une voix déterminée)

À la fin, ils réussirent à battre tous les méchants. Hourra !
(Lever les bras en signe de victoire)

Ils rapportèrent l’eau aux gens assoiffés qui étaient très contents.
(Mimer quelqu’un qui boit avec soulagement)

Max et Furiosa devinrent les héros du désert, admirés de tous.
(Prendre une voix fière et posée)

Et depuis ce jour, ils veillent à ce que tout le monde ait de l’eau et soit heureux.
(Terminer avec un grand sourire)

Maintenant, il est temps de faire dodo comme le brave Max après ses aventures !
(Mimer quelqu’un qui s’endort paisiblement)

Les trois plumes

Les trois plumes
Voici une version adaptée de l’histoire « Les trois plumes » pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes environ :

Il était une fois un vieux roi qui avait trois fils.
(Voix grave et solennelle, geste de la main montrant trois doigts)

Un jour, le roi dit : « Je suis trop vieux pour régner. Celui de mes fils qui rapportera le plus beau tapis sera le nouveau roi ! »
(Imiter une voix de vieillard)

Le roi lança alors trois plumes en l’air.
(Mimer le geste de lancer des plumes)

La première plume vola vers l’est.
La deuxième vers l’ouest.
Et la troisième… tomba juste devant le château !
(Pointer du doigt dans différentes directions)

Les deux premiers fils partirent vite chercher de beaux tapis.
(Mimer quelqu’un qui court)

Le troisième fils, lui, resta près du château. Il était un peu triste.
(Faire une moue triste)

Soudain, il vit une trappe dans le sol ! Il l’ouvrit et descendit un grand escalier.
(Ouvrir une trappe imaginaire, descendre des marches)

En bas, il trouva une gentille grenouille.
« Que cherches-tu ? » demanda-t-elle.
(Voix aiguë pour la grenouille)

« Je cherche le plus beau tapis du monde », répondit le prince.

Alors la grenouille lui donna un magnifique tapis doré !
(Ton joyeux, gestes d’émerveillement)

Le prince remonta vite au château.
Ses frères revinrent avec de jolis tapis.
Mais le tapis doré était le plus beau de tous !
(Ton excité)

Le vieux roi fut émerveillé. Il déclara le troisième fils nouveau roi.
(Voix solennelle)

Et ils vécurent tous heureux pour toujours !
(Sourire, ton joyeux)

La Reine Cléopâtre

La Reine Cléopâtre
Il était une fois, dans un pays lointain appelé l’Égypte…
(Parler doucement, faire un geste large avec les mains)

Une jeune princesse nommée Cléopâtre. Elle était très intelligente et aimait beaucoup apprendre.
(Mimer l’action de lire un livre)

Un jour, son père le roi mourut. Cléopâtre devint alors la reine d’Égypte !
(Ton légèrement dramatique, puis enthousiaste)

Mais ce n’était pas facile d’être reine. Son petit frère et sa petite sœur voulaient aussi gouverner.
(Froncer les sourcils, air préoccupé)

Cléopâtre dut quitter le palais. Elle partit se cacher dans le désert.
(Mimer l’action de partir furtivement)

Pendant ce temps, un grand général romain nommé Jules César arriva en Égypte.
(Ton mystérieux, geste montrant quelqu’un qui arrive)

Cléopâtre eut une idée ! Elle se fit enrouler dans un tapis et apporter à César.
(Ton excité, mimer l’action de s’enrouler)

Surprise ! Cléopâtre sortit du tapis. César fut impressionné par son intelligence.
(Mimer l’action de dérouler le tapis, ton joyeux)

Grâce à l’aide de César, Cléopâtre redevint reine d’Égypte.
(Ton triomphant)

Elle gouverna avec sagesse pendant de nombreuses années.
(Ton calme et posé)

Cléopâtre construisit de beaux monuments et rendit son pays prospère.
(Geste large montrant de grands bâtiments)

Mais un jour, une nouvelle armée romaine attaqua l’Égypte.
(Ton inquiet, mimer le bruit des armes)

Cléopâtre essaya de les arrêter, mais c’était trop difficile.
(Ton triste, secouer la tête)

Plutôt que d’être capturée, elle décida de s’endormir pour toujours…
(Ton doux et apaisant, mimer quelqu’un qui s’endort)

Cléopâtre resta dans l’Histoire comme une grande reine, intelligente et courageuse.
(Ton admiratif)

Et c’est ainsi que se termine l’histoire de la Reine Cléopâtre d’Égypte.
(Ton conclusif, faire un geste de fermeture)

Fais de beaux rêves, petit(e).
(Chuchoter, caresser doucement la tête de l’enfant)

La Chèvre de Monsieur Seguin

La Chèvre de Monsieur Seguin
Voici une version adaptée de La Chèvre de Monsieur Seguin pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour le conteur :

Il était une fois, dans les montagnes, un homme gentil nommé Monsieur Seguin.
(Voix douce et souriante, geste de la main montrant les montagnes)

Monsieur Seguin avait une jolie petite chèvre blanche appelée Blanquette.
(Mimer une petite chèvre avec les mains)

Blanquette était très heureuse dans son enclos, mais elle rêvait d’aventures.
(Voix rêveuse, regarder au loin)

Un jour, Blanquette dit à Monsieur Seguin : « Je veux aller dans la montagne ! »
(Voix aiguë et excitée pour la chèvre)

Monsieur Seguin répondit : « Oh non, ma petite Blanquette ! C’est dangereux là-haut. »
(Voix inquiète, secouer la tête)

Mais Blanquette insista : « S’il vous plaît, laissez-moi y aller ! »
(Ton suppliant, joindre les mains)

Monsieur Seguin finit par accepter : « D’accord, mais sois prudente. »
(Voix résignée, hausser les épaules)

Blanquette courut joyeusement dans la montagne.
(Mimer une chèvre qui court)

Elle gambada dans l’herbe fraîche et respira l’air pur.
(Prendre une grande inspiration)

Soudain, elle entendit un bruit effrayant : « Grrr ! »
(Voix grave et menaçante)

C’était le loup ! Il voulait manger la petite chèvre.
(Faire des gestes de griffes avec les mains)

Blanquette eut peur, mais elle décida d’être courageuse.
(Voix tremblante puis déterminée)

Elle se battit contre le loup toute la nuit.
(Mimer un combat)

Au matin, Blanquette était fatiguée mais fière.
(Voix essoufflée)

Elle rentra chez Monsieur Seguin, qui l’accueillit à bras ouverts.
(Ouvrir grand les bras)

Blanquette avait appris que parfois, il faut être brave pour surmonter les dangers.
(Voix douce et rassurante)

Et depuis ce jour, elle apprécia encore plus son doux foyer.
(Sourire et caresser une chèvre imaginaire)

(Terminer avec une voix calme et apaisante) Bonne nuit, petit(e).

Bataille des Thermopyles

Bataille des Thermopyles
Voici une version adaptée de la Bataille des Thermopyles pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes :

Il était une fois, dans un pays lointain appelé la Grèce…
(Parler doucement, faire un geste large avec les bras)

Un roi très courageux nommé Léonidas. Il dirigeait une petite armée de soldats forts et braves.
(Bomber le torse, prendre une voix grave pour Léonidas)

Un jour, un messager arriva en courant :
« Roi Léonidas ! Une immense armée ennemie arrive ! »
(Mimer quelqu’un qui court, parler vite et essoufflé)

Léonidas réfléchit. Comment protéger son pays avec si peu de soldats ?
(Se gratter le menton, l’air pensif)

Il eut alors une idée brillante !
« Nous allons les arrêter dans un passage étroit entre les montagnes ! »
(Lever le doigt, l’air inspiré)

Léonidas et ses hommes marchèrent jusqu’au défilé des Thermopyles.
(Mimer une marche sur place)

Quand l’armée ennemie arriva, elle était énorme ! Des milliers de soldats !
(Ouvrir grand les yeux et la bouche, l’air impressionné)

Mais le passage était si étroit que seuls quelques ennemis pouvaient passer à la fois.
(Rapprocher les mains pour montrer l’étroitesse)

Pendant trois jours, Léonidas et ses braves repoussèrent les attaques.
(Mimer des coups d’épée)

Malheureusement, un traître montra aux ennemis un chemin secret.
(Chuchoter, l’air mystérieux)

Léonidas comprit que c’était la fin. Mais il était fier : grâce à lui, son pays avait eu le temps de préparer sa défense.
(Sourire doucement, parler avec fierté)

Léonidas et ses soldats se battirent jusqu’au bout, comme de vrais héros.
(Lever le poing, voix pleine d’admiration)

Et c’est ainsi que, grâce à leur courage, la Grèce put se défendre et rester libre.
(Terminer d’une voix douce et apaisante)

La farce de Maître Pathelin

La farce de Maître Pathelin
Voici une version adaptée de La Farce de Maître Pathelin pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour le conteur :

Il était une fois, dans un petit village, un avocat nommé Maître Pathelin.
(Voix douce et mystérieuse) Il était très malin, mais aussi très pauvre.

Un jour, Pathelin eut une idée.
(Voix excitée, yeux grands ouverts) « Je vais acheter du tissu sans payer ! »

Il alla voir le marchand Guillaume et lui dit :
(Voix mielleuse, sourire exagéré) « Bonjour ami ! Ton tissu est si beau ! »

Pathelin prit le tissu et promit de payer plus tard.
(Faire semblant de caresser un tissu)

Mais quand Guillaume vint chercher l’argent, Pathelin fit semblant d’être malade.
(Tousser et gémir doucement)

Guillaume était très fâché !
(Froncer les sourcils, secouer la tête)

Plus tard, Guillaume alla au tribunal. Son berger avait volé des moutons !
(Imiter le bêlement d’un mouton)

Devinez qui était l’avocat du berger ? Maître Pathelin !
(Voix surprise, mains sur les joues)

Pathelin dit au berger : « Réponds toujours ‘Bêê’ au juge. »
(Chuchoter et faire un clin d’œil)

Le juge posa des questions, mais le berger ne disait que « Bêê ».
(Répéter « Bêê » avec une voix de mouton)

Le juge crut que le berger était fou et le laissa partir.
(Hausser les épaules, l’air perplexe)

Pathelin demanda son paiement au berger, mais celui-ci répondit : « Bêê ! »
(Voix frustrée) Pathelin comprit qu’il s’était fait avoir à son tour.

(Voix douce) Et c’est ainsi que se termina cette drôle d’histoire.
(Sourire et faire un geste d’au revoir)

Commentaires pour le conteur :
– Utilisez différentes voix pour chaque personnage.
– Faites des gestes pour illustrer les actions.
– Parlez doucement et calmement, surtout à la fin pour aider l’enfant à s’endormir.
– Faites des pauses entre les paragraphes pour laisser l’enfant absorber l’histoire.
– Maintenez un contact visuel avec l’enfant pour le garder engagé.

Knock de Jules Romains

Knock


Voici une version adaptée et simplifiée de l’histoire de Knock pour un jeune enfant, avec des indications pour la narration :

Il était une fois, dans un petit village tranquille…
(Voix douce, gestes lents)

Un nouveau docteur arriva. Il s’appelait Knock.
(Ton mystérieux, lever un sourcil)

Knock avait une idée : faire croire à tout le monde qu’ils étaient malades !
(Voix excitée, yeux grands ouverts)

Il dit aux villageois : « Venez me voir, vous êtes peut-être malades sans le savoir ! »
(Imiter la voix de Knock, pointer du doigt)

Les gens, inquiets, allèrent le voir. Knock leur disait :
« Oh là là ! Vous avez besoin de médicaments ! »
(Ton faussement inquiet, secouer la tête)

Bientôt, tout le village pensait être malade.
(Voix basse, air conspirateur)

Même les gens en bonne santé restaient au lit !
(Ton amusé, faire semblant de dormir)

L’ancien docteur revint et fut très surpris.
(Voix étonnée, bouche en O)

Il demanda : « Que se passe-t-il ici ? »
(Ton interrogatif, pencher la tête)

Knock répondit fièrement : « J’ai réussi à soigner tout le monde ! »
(Voix triomphante, bras en l’air)

Mais en vérité, personne n’était vraiment malade.
(Chuchoter, doigt sur la bouche)

C’était juste une ruse de Knock pour devenir célèbre.
(Ton de confidence, clin d’œil)

Et toi, tu crois qu’il a bien fait ?
(Regarder l’enfant, attendre sa réaction)

Maintenant, il est temps de dormir, comme les villageois !
(Voix apaisante, caresser la tête de l’enfant)

Bonne nuit, petit(e) !
(Sourire, éteindre doucement la lumière)