Pierre et les animaux

Pierre et les animaux

Il était une fois, dans une petite maison près d’une grande forêt…
(Voix douce et mystérieuse)

Vivait un petit garçon nommé Pierre avec son grand-père.
(Sourire chaleureux)

Un jour, Pierre ouvrit la barrière du jardin et alla dans le pré.
(Mimer l’ouverture d’une barrière)

Sur une branche, un petit oiseau gazouillait gaiement :
« Tout va bien ! Tout va bien ! »
(Voix aiguë et chantante, geste de l’oiseau qui vole)

Un canard arriva en se dandinant, tout heureux de nager dans la mare.
(Mimer la démarche du canard)

Le chat rôdait dans l’herbe, pensant :
« Si l’oiseau descend, je l’attraperai ! »
(Voix basse et rusée, gestes félins)

Le grand-père gronda Pierre :
« C’est dangereux dehors ! Et si un loup sortait de la forêt ? »
(Voix grave et sérieuse, doigt levé)

Mais Pierre n’avait pas peur du loup.
(Air bravache)

Soudain… un gros loup gris sortit des bois !
(Voix forte et menaçante, gestes amples)

Le chat grimpa vite à l’arbre.
Le canard courut se cacher.
Mais le loup l’avala d’un coup !
(Mimer les actions rapidement)

Pierre n’eut pas peur. Il prit une corde et grimpa au mur.
(Gestes d’escalade)

Il attrapa le loup par la queue !
(Geste vif de la main)

Des chasseurs arrivèrent, fusils en main.
(Mimer les fusils)

Pierre leur dit : « Ne tirez pas ! Aidez-moi à attraper le loup vivant ! »
(Voix décidée)

Ils attachèrent le loup et l’emmenèrent au zoo.
(Gestes d’attachement)

Et maintenant, écoute bien…
(Voix basse et mystérieuse)

On peut encore entendre le canard qui fait « coin-coin » dans le ventre du loup !
(Faire le bruit du canard doucement)

Fin de l’histoire. Fais de beaux rêves, mon petit.
(Voix douce et apaisante, caresse sur la tête)

Le Loup et les sept chevreaux

Le Loup et les sept chevreaux
Voici une version adaptée de l’histoire « Le Loup et les sept chevreaux » pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour le conteur :

Il était une fois… (voix douce et mystérieuse)
Une maman chèvre et ses sept petits chevreaux. (faire le geste de caresser)

Un jour, maman chèvre dit : (voix plus grave)
« Mes chéris, je dois aller chercher à manger.
N’ouvrez à personne ! Le méchant loup rôde. » (air inquiet)

Les chevreaux promirent : « Oui, maman ! » (voix aiguë et enjouée)

Peu après… (pause dramatique)
TOC TOC TOC ! (frapper sur une surface)
« C’est moi, votre maman ! » dit une grosse voix.

Mais les chevreaux répondirent : (voix aiguë)
« Tu n’es pas notre maman ! Ta voix est trop grave ! »

Le loup mangea de la craie pour adoucir sa voix. (mimer l’action de manger)

TOC TOC TOC ! (frapper à nouveau)
Cette fois, les chevreaux hésitèrent…

Mais ils virent une patte noire par la fenêtre ! (faire semblant de regarder)
« Tu n’es pas notre maman ! Ta patte est noire ! »

Le rusé loup alla mettre de la farine sur sa patte. (mimer l’action)

TOC TOC TOC ! (frapper une dernière fois)
Les chevreaux ouvrirent… Oh non ! (air effrayé)

C’était le loup ! (voix grave et menaçante)
Il avala six chevreaux ! (mimer l’action d’avaler)
Le plus petit se cacha dans l’horloge. (mimer se cacher)

Quand maman chèvre rentra, elle pleura. (imiter des pleurs)
Le petit chevreau lui raconta tout.

Courageuse, maman chèvre partit chercher le loup. (air déterminé)
Elle le trouva endormi près d’un puits. (mimer le ronflement)

Vite, elle ouvrit son ventre, libéra les chevreaux, (mimer l’action)
Et remplit le ventre de pierres ! (faire semblant de porter des pierres lourdes)

Le loup se réveilla assoiffé. Il alla boire au puits…
PLOUF ! Il tomba et ne revint jamais. (faire un grand geste)

La famille chèvre fit une grande fête ! (air joyeux)
Et depuis ce jour, ils vécurent heureux. (sourire)

(Voix douce) Et c’est ainsi que se termine notre histoire…
Fais de beaux rêves, mon petit. (caresser doucement)

Napoléon

Napoléon
Il était une fois, dans un pays lointain appelé la Corse, un petit garçon nommé Napoléon.
(Voix douce et mystérieuse)

Napoléon rêvait de grandes aventures et d’exploits héroïques.
(Faire de grands gestes avec les bras)

Un jour, il quitta son île pour aller étudier en France. Il apprit l’art de la guerre et devint un brillant soldat.
(Mimer l’action de lire un livre)

Napoléon était très intelligent et courageux. Il gravit rapidement les échelons de l’armée.
(Lever la main de plus en plus haut)

Bientôt, il devint le chef de toute l’armée française !
(Voix plus forte et enthousiaste)

Napoléon remporta de nombreuses batailles. Il était comme un lion sur le champ de bataille !
(Rugir comme un lion)

Les Français l’aimaient tellement qu’ils le couronnèrent empereur.
(Mimer le geste de poser une couronne)

Napoléon voulait que la France soit le plus grand pays d’Europe. Il partit conquérir d’autres royaumes.
(Marcher sur place d’un air déterminé)

Mais un jour, l’empereur alla trop loin. Il attaqua un pays très froid appelé la Russie.
(Frissonner et claquer des dents)

Son armée souffrit beaucoup du froid et de la faim. Napoléon dut rentrer en France, vaincu.
(Voix triste et baisser la tête)

Les autres pays d’Europe s’allièrent contre lui. Napoléon fut envoyé sur une petite île.
(Mimer quelqu’un de tout petit avec les mains)

Mais ce n’était pas fini ! Napoléon s’échappa et revint en France.
(Voix excitée et surprise)

Hélas, il fut à nouveau vaincu lors d’une grande bataille à Waterloo.
(Soupirer et hausser les épaules)

Cette fois, Napoléon fut exilé sur une île lointaine où il passa le reste de sa vie.
(Voix calme et apaisante)

Ainsi se termina l’incroyable histoire de Napoléon, le petit garçon corse devenu empereur.
(Voix douce, comme pour conclure une berceuse)

Léonard de Vinci

Léonard de Vinci
Il était une fois, dans un petit village d’Italie, un garçon nommé Léonard.
(Voix douce et mystérieuse)

Léonard adorait observer la nature autour de lui.
(Faire de grands yeux émerveillés et regarder autour)

Il dessinait tout ce qu’il voyait : les oiseaux, les fleurs, et même les nuages !
(Mimer le geste de dessiner)

Un jour, Léonard quitta son village pour aller dans la grande ville de Florence.
(Ton excité) Là-bas, il apprit à peindre de magnifiques tableaux.

Mais Léonard ne voulait pas seulement être peintre…
(Voix intriguée) Il rêvait aussi d’inventer des machines volantes !
(Lever les bras comme pour voler)

Le duc de Milan, un homme très puissant, entendit parler de Léonard.
(Ton important) Il lui demanda de créer des machines de guerre pour protéger sa ville.

Léonard accepta, mais dans son cœur…
(Voix basse, comme un secret) Il préférait dessiner des sourires mystérieux.

Il peignit alors le portrait d’une dame au sourire énigmatique.
(Sourire malicieux) On l’appela la Joconde.

Léonard continua à inventer et à peindre toute sa vie.
(Ton admiratif) Il imagina même un homme aux bras et jambes écartés dans un cercle !

Quand Léonard devint vieux, un roi l’invita à vivre dans son château en France.
(Voix fatiguée) Là, il put enfin se reposer et rêver à de nouvelles inventions.

Et c’est ainsi que Léonard, le petit garçon qui aimait dessiner,
(Voix douce) devint l’un des plus grands artistes et inventeurs de tous les temps.

(Chuchoter) Maintenant, ferme les yeux et imagine toutes les belles choses que tu pourrais créer, toi aussi.

Renart et Ysengrin

Renart et Ysengrin
Voici une version adaptée de l’histoire de Renart et Ysengrin pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour la raconter à voix haute :

Il était une fois, dans une grande forêt…
(Voix douce et mystérieuse, faire un geste large avec les bras)

Un rusé renard nommé Renart et un gros loup appelé Ysengrin.
(Montrer avec les mains la petitesse du renard puis la grande taille du loup)

Renart adorait jouer des tours à son ami Ysengrin.
(Ton espiègle, faire un clin d’œil)

Un jour, Renart dit à Ysengrin :
« J’ai trouvé un trou plein de délicieux poissons ! »
(Voix excitée de Renart)

Ysengrin, très gourmand, s’écria :
« Oh oui ! Allons-y vite ! »
(Voix grave et enthousiaste d’Ysengrin)

Mais c’était un piège ! Le trou était en fait un lac gelé.
(Ton dramatique, ouvrir grand les yeux)

Renart dit à Ysengrin :
« Mets ta queue dans l’eau, les poissons vont mordre ! »
(Voix malicieuse de Renart)

Le pauvre Ysengrin obéit et sa queue resta coincée dans la glace.
(Mime de la queue coincée, expression de douleur)

Renart s’enfuit en riant, laissant Ysengrin prisonnier.
(Rire malin de Renart, puis expression triste pour Ysengrin)

Mais le soleil se leva et fit fondre la glace.
(Mimer un soleil qui se lève avec les bras)

Ysengrin put enfin se libérer et courut après Renart.
(Ton de soulagement, puis déterminé)

« Tu vas voir, petit malin ! » gronda le loup.
(Voix menaçante d’Ysengrin)

Renart grimpa vite dans un arbre pour échapper à Ysengrin.
(Mimer l’action de grimper)

Et depuis ce jour, Ysengrin se méfie toujours des idées de Renart !
(Ton amusé, hausser les épaules)

(Terminer par un petit rire complice avec l’enfant)

Le petit chaperon rouge

Le petit chaperon rouge dans la forêt

Voici une version courte du Petit Chaperon Rouge adaptée pour être racontée à voix haute à un enfant de 4 ans en 3 minutes environ :

Il était une fois une petite fille qu’on appelait le Petit Chaperon Rouge.
(Faire un geste pour montrer la petite taille de l’enfant)

Un jour, sa maman lui dit :
(Prendre une voix douce de maman)
« Va porter cette galette et ce pot de beurre à ta grand-mère malade. »

Le Petit Chaperon Rouge partit joyeusement dans la forêt.
(Mimer une marche enjouée)

Soudain, elle rencontra le loup !
(Prendre une voix grave et effrayante pour le loup)
« Où vas-tu, petite fille ? » demanda-t-il.

« Je vais voir ma grand-mère malade », répondit-elle naïvement.
(Voix innocente et aiguë pour le Petit Chaperon Rouge)

Le loup eut alors une idée…
(Air malicieux, doigt sur le menton)

Il arriva le premier chez la grand-mère et l’enferma dans l’armoire !
(Mimer l’action de fermer une porte)

Quand le Petit Chaperon Rouge arriva, le loup était déguisé.
(Chuchoter avec un air de mystère)

« Grand-mère, que vous avez de grandes oreilles ! » dit la petite fille.
« C’est pour mieux t’entendre ! » répondit le loup.
(Alterner les voix du Chaperon et du loup)

« Grand-mère, que vous avez de grands yeux ! »
« C’est pour mieux te voir ! »

« Grand-mère, que vous avez de grandes dents ! »
« C’est pour mieux te manger ! »

Et hop ! Le loup bondit hors du lit !
(Faire un geste brusque)

Mais à ce moment-là…
(Marquer une pause dramatique)

Un chasseur arriva et sauva le Petit Chaperon Rouge et sa grand-mère !
(Ton soulagé et joyeux)

Depuis ce jour, la petite fille promit de toujours écouter les conseils de sa maman.
(Voix douce et rassurante pour conclure)

Et voilà, c’est fini ! Fais de beaux rêves !
(Caresser doucement la tête de l’enfant)

La légende de la ville d’Ys

La légende de la ville d'Ys

Voici une version adaptée de La légende de la ville d’Ys pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour le conteur :

Il était une fois, il y a très longtemps…
(Voix douce et mystérieuse, gestes lents des mains)

Une belle cité appelée Ys, au bord de l’océan.
(Dessiner un grand cercle avec les bras)

Le roi Gradlon y vivait avec sa fille, la princesse Dahut.
(Mimer une couronne sur la tête)

Mais attention ! L’océan était dangereux.
(Ton plus grave, sourcils froncés)

Alors le roi fit construire une grande digue pour protéger la ville.
(Geste de construction avec les mains)

Une énorme porte en métal fermait cette digue.
(Mimer une porte qui se ferme)

Seul le roi avait la clé magique pour l’ouvrir.
(Faire semblant de tenir une clé)

Un jour, un prince étranger arriva dans la ville.
(Ton excité, yeux grands ouverts)

La princesse Dahut tomba amoureuse de lui.
(Mains sur le cœur, air rêveur)

Mais ce prince était méchant !
(Voix basse et menaçante)

Il voulait voler la clé magique du roi.
(Mimer quelqu’un qui vole)

La nuit, pendant que le roi dormait…
(Faire semblant de dormir)

Dahut prit la clé et la donna au prince.
(Geste de donner quelque chose)

Le prince ouvrit alors la grande porte de la digue !
(Mimer l’ouverture d’une grande porte)

L’eau de l’océan commença à entrer dans la ville.
(Onduler les mains comme des vagues)

Le roi se réveilla et vit le danger.
(Sursauter et ouvrir grand les yeux)

Il sauta sur son cheval magique.
(Mimer quelqu’un qui monte à cheval)

Il prit Dahut avec lui et s’enfuit de la ville.
(Geste rapide du bras)

Mais l’eau montait, montait…
(Lever les mains progressivement)

Dahut, triste de ce qu’elle avait fait, tomba dans l’océan.
(Mimer quelqu’un qui tombe, air triste)

Le roi Gradlon réussit à s’échapper.
(Soupir de soulagement)

La belle ville d’Ys disparut sous les vagues.
(Geste de la main qui descend lentement)

On dit que parfois, on peut encore entendre les cloches de la ville sous l’eau.
(Mimer des oreilles qui écoutent, ton mystérieux)

Et voilà, c’est la fin de l’histoire. Fais de beaux rêves, mon petit.
(Voix douce, caresser doucement la tête de l’enfant)

La légende d’Anubis

La légende d
Voici une version adaptée de la légende d’Anubis pour un enfant de 4 ans, avec des indications pour la narration :

Il était une fois, dans l’Égypte ancienne, un dieu très spécial nommé Anubis.
(Parler doucement, avec un air mystérieux)

Anubis avait une tête de chacal noir et un corps d’homme fort.
(Mimer une tête de chien et montrer ses muscles)

Son travail était très important : il guidait les âmes des morts vers l’au-delà.
(Faire un geste de la main comme pour montrer le chemin)

Un jour, le méchant dieu Seth tua Osiris, le roi des dieux.
(Prendre une voix grave et faire un air fâché)

Anubis était triste et en colère. Il décida d’aider Isis, la femme d’Osiris.
(Mimer des larmes puis serrer les poings)

Ensemble, ils rassemblèrent les morceaux du corps d’Osiris.
(Faire semblant de ramasser des choses par terre)

Anubis utilisa sa magie pour transformer Osiris en la première momie.
(Agiter les mains comme un magicien)

Grâce à Anubis, Osiris put devenir le roi du monde des morts.
(Mimer une couronne sur la tête)

Depuis ce jour, Anubis protège tous ceux qui partent pour l’au-delà.
(Faire un câlin imaginaire)

Il les aide à traverser en sécurité et veille sur eux pour toujours.
(Bercer doucement ses bras)

Et c’est ainsi qu’Anubis devint un héros pour les anciens Égyptiens.
(Finir avec un grand sourire et un ton joyeux)

L’Île de la cité et la légende de la Dame Blanche

L
Il était une fois, sur une petite île au milieu d’un grand fleuve…

(Voix douce et mystérieuse, gestes lents des mains pour décrire l’île)

Cette île s’appelait l’Île de la Cité. C’était le cœur de Paris, une ville magique.

(Ouvrir grand les yeux, sourire)

Sur cette île vivait une belle dame toute blanche. On l’appelait la Dame Blanche.

(Mimer une silhouette féminine avec les mains)

La Dame Blanche était très gentille. Elle aimait beaucoup les enfants et les protégeait.

(Ton rassurant, geste de câlin)

Mais un jour, des méchants guerriers sont venus attaquer l’île !

(Voix plus forte, visage sérieux, geste brusque de la main)

La Dame Blanche n’avait pas peur. Elle a décidé de défendre son île et ses amis.

(Ton déterminé, poings sur les hanches)

Elle a utilisé sa magie pour créer un grand brouillard blanc.

(Gestes amples des bras, comme pour étaler du brouillard)

Les guerriers ne voyaient plus rien ! Ils tournaient en rond et se cognaient entre eux.

(Ton amusé, mimer quelqu’un qui trébuche)

Grâce à la Dame Blanche, l’Île de la Cité était sauvée !

(Voix joyeuse, lever les bras en signe de victoire)

Depuis ce jour, quand il y a du brouillard sur l’île, on dit que c’est la Dame Blanche qui veille.

(Voix douce et mystérieuse, pointer du doigt au loin)

Et si tu es sage, peut-être qu’un jour tu la verras, flottant dans sa robe blanche…

(Chuchoter, faire un clin d’œil)

Maintenant, ferme tes yeux et fais de beaux rêves. La Dame Blanche veille sur toi.

(Voix très douce, caresser doucement la tête de l’enfant)

Sinbad le marin

 Sinbad le marin
Il était une fois, dans la lointaine ville de Bagdad, un brave marin nommé Sinbad.

(Voix douce et mystérieuse) Sinbad rêvait de grandes aventures sur les mers.

Un jour, il monta sur un magnifique bateau.
(Faire semblant de grimper avec les mains)

Le bateau vogua pendant des jours et des nuits.
(Faire un mouvement de vague avec la main)

Soudain… (Pause dramatique) Une énorme tempête éclata !
(Voix plus forte, faire des gestes brusques avec les bras)

Le bateau de Sinbad se brisa sur des rochers.
(Mime du choc avec les mains)

Mais notre héros, très courageux, nagea jusqu’à une île.
(Mimer la nage)

Sur cette île vivait un géant avec un seul œil !
(Ouvrir grand les yeux et pointer du doigt)

(Voix grave) « Qui ose venir sur mon île ? » gronda le géant.

(Voix normale) Sinbad, malin, offrit un cadeau au géant : du vin.

Le géant but tout le vin et s’endormit profondément.
(Faire semblant de ronfler)

Sinbad en profita pour s’échapper sur un radeau qu’il avait fabriqué.
(Mimer la construction)

Il navigua longtemps, très longtemps…
(Faire un long bâillement)

Enfin, il retrouva sa maison à Bagdad.
(Sourire et ouvrir les bras)

(Voix douce) Sinbad était heureux, mais il savait qu’un jour…
Il repartirait pour de nouvelles aventures.

(Chuchoter) Et toi, de quelles aventures vas-tu rêver cette nuit ?