Jeanne d’Arc

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Il était une fois, dans un petit village de France, une jeune fille nommée Jeanne. (Parler doucement, avec un ton chaleureux)

Jeanne aimait beaucoup jouer dans les champs et s’occuper des animaux. (Mimer le geste de caresser un animal)

Un jour, alors qu’elle était dans le jardin, elle entendit une voix. (Chuchoter) « Jeanne, Jeanne… »

C’était un ange ! (Ouvrir grand les yeux, l’air émerveillé) L’ange lui dit qu’elle avait une mission très importante.

La France était en guerre, et Jeanne devait aider le roi. (Prendre un air sérieux)

Courageuse, Jeanne partit à cheval. (Mimer le galop avec les mains) Clip-clop, clip-clop !

Elle rencontra le roi et lui dit : (Prendre une voix déterminée) « Je vais vous aider à sauver la France ! »

Jeanne mit une belle armure brillante (Faire semblant de mettre un casque) et partit avec les soldats.

Elle était très gentille et courageuse. Tout le monde l’aimait beaucoup. (Sourire)

Grâce à Jeanne, les Français gagnèrent plusieurs batailles. (Lever le poing en signe de victoire)

La France était sauvée ! (Ton joyeux)

Mais certaines personnes méchantes n’aimaient pas Jeanne. (Froncer les sourcils)

Elles l’ont emmenée loin de ses amis. (Ton triste)

Jeanne est devenue un ange, veillant sur la France depuis le ciel. (Regarder vers le haut, l’air paisible)

Aujourd’hui, on se souvient de Jeanne comme d’une héroïne très courageuse. (Ton doux et admiratif)

Et quand on regarde les étoiles, on pense à Jeanne qui veille sur nous. (Pointer le ciel du doigt)

Fais de beaux rêves, petit(e) héros/héroïne. (Caresser doucement la tête de l’enfant)

Le joueur de flûte de Hamelin

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Voici une version courte et adaptée de l’histoire du Joueur de flûte de Hamelin pour raconter à un enfant de 4 ans en 3 minutes environ :

(Voix douce et mystérieuse) Il était une fois, dans la jolie ville de Hamelin, un gros problème de rats.
(Mimer des rats qui courent partout) Les rats étaient partout ! Dans les maisons, les rues, les magasins.
(Ton inquiet) Les habitants ne savaient plus quoi faire.

(Voix forte) Un jour, un étrange joueur de flûte arriva en ville.
(Mimer quelqu’un qui joue de la flûte) Il proposa de débarrasser la ville des rats en échange d’une récompense.
(Ton joyeux) Le maire accepta tout de suite !

(Ton mystérieux) Le joueur de flûte se mit alors à jouer une douce mélodie.
(Mimer à nouveau quelqu’un qui joue de la flûte)
(Chuchoter) Et comme par magie, tous les rats sortirent et le suivirent hors de la ville.

(Ton triste) Mais quand il revint chercher sa récompense, le maire refusa de payer.
(Voix en colère) Le joueur de flûte était très fâché !

(Ton mystérieux) Alors il joua à nouveau de sa flûte magique.
(Mimer encore le joueur de flûte)
(Chuchoter) Cette fois, ce sont tous les enfants de la ville qui le suivirent.

(Ton triste) Les parents étaient désespérés. Ils supplièrent le maire de payer le joueur de flûte.
(Ton joyeux) Finalement, le maire accepta et les enfants revinrent sains et saufs.

(Voix douce) Depuis ce jour, les habitants de Hamelin ont appris à toujours tenir leurs promesses.
(Sourire) Et toi aussi, tu tiendras toujours tes promesses, n’est-ce pas ?

(Bâiller) Maintenant il est l’heure de dormir. Fais de beaux rêves !

La légende de Faust

Faust


Il était une fois, dans un petit village lointain, un homme très sage nommé Faust.
(Voix douce et mystérieuse, gestes lents des mains)

Faust passait ses journées à lire d’énormes livres poussiéreux. Il voulait tout savoir sur le monde !
(Mimer l’ouverture d’un gros livre, voix curieuse)

Un soir, alors que la lune brillait, un étrange personnage apparut dans sa chambre.
(Voix basse et dramatique, pointer du doigt comme si on voyait quelqu’un)

C’était Méphistophélès, un démon malin aux yeux rouges !
(Voix grave et un peu effrayante, faire des yeux écarquillés)

Méphistophélès proposa un marché à Faust : « Je peux t’offrir tous les secrets du monde, mais en échange, tu devras me donner ton âme. »
(Chuchoter de façon tentatrice, se pencher vers l’enfant)

Faust hésita… Puis finit par accepter.
(Marquer une pause, puis hocher lentement la tête)

Grâce à ses nouveaux pouvoirs, Faust vécut plein d’aventures ! Il voyagea dans le temps, rencontra des rois et des reines.
(Voix enjouée, gestes amples pour montrer l’excitation)

Mais au fil du temps, Faust se rendit compte que tous ces secrets ne le rendaient pas vraiment heureux.
(Voix triste, baisse lentement les épaules)

Il comprit que le vrai bonheur, c’était d’aider les autres et d’être gentil.
(Voix douce et sage, sourire bienveillant)

Quand Méphistophélès revint chercher son âme, Faust demanda pardon pour ses erreurs.
(Mimer une prière, voix humble)

Et tu sais quoi ? Le ciel lui pardonna, car Faust avait appris sa leçon.
(Voix joyeuse et soulagée, lever les bras au ciel)

Depuis ce jour, Faust utilisa sa sagesse pour aider les gens de son village, et il vécut heureux jusqu’à la fin de ses jours.
(Voix apaisante, caresser doucement la tête de l’enfant)

Et maintenant, mon petit, il est temps de fermer les yeux et de faire de beaux rêves, tout comme Faust.
(Murmurer doucement, faire semblant de fermer les yeux)

La légende de la Bête du Gévaudan

(Voix douce et mystérieuse) Il était une fois, dans un pays lointain appelé le Gévaudan, une grande forêt sombre et mystérieuse.

(Geste large des bras) Dans cette forêt vivaient de nombreux animaux, des lapins, des cerfs, et même des loups. Mais un jour… (Pause dramatique)

(Voix plus grave) Un animal étrange et énorme est apparu. Les gens l’appelaient « La Bête ». (Mimer des grandes dents et des griffes avec les mains)

(Ton inquiet) La Bête faisait peur à tout le monde. Elle était si grande et si forte que même les chasseurs n’arrivaient pas à l’attraper !

(Voix rassurante) Le roi, qui vivait dans un grand château (mimer une couronne sur la tête), a entendu parler de la Bête. Il a décidé d’envoyer ses meilleurs soldats pour protéger les villageois.

(Ton excité) Les soldats sont arrivés avec leurs épées brillantes (mimer le geste de tenir une épée) et leurs beaux chevaux. Ils ont cherché la Bête partout dans la forêt.

(Voix mystérieuse) Mais la Bête était très maligne. Elle se cachait si bien que personne ne pouvait la trouver.

(Ton triomphant) Finalement, un jour, un brave chasseur nommé Jean Chastel est parti dans la forêt. (Mimer le geste de tenir un fusil)

(Voix calme) Jean a attendu patiemment. Et soudain… (Pause)

(Ton excité) La Bête est apparue ! Jean a visé avec son fusil et… BOUM ! (Faire un geste brusque)

(Voix douce) La Bète est tombée. Tout le monde était soulagé et heureux. Les villageois pouvaient enfin dormir tranquilles.

(Ton rassurant) Et depuis ce jour, on ne revit plus jamais la Bête du Gévaudan. Mais on raconte encore son histoire, pour se souvenir du courage des villageois et des soldats.

(Voix très douce) Et maintenant, il est temps de fermer les yeux et de faire de beaux rêves, tout comme les enfants du Gévaudan après la disparition de la Bête. (Mimer le geste de fermer les yeux)

L’histoire de Barbe Bleue

Barbe bleue

(Voix douce et mystérieuse) Il était une fois, dans un grand château, un seigneur à la barbe bleue… 

(Mimique d’étonnement) Bleue ? Oui, bleue comme le ciel ! 

(Ton enjoué) Ce seigneur était très riche. Il avait plein de beaux trésors cachés dans son château.

(Geste montrant une grande pièce) Des pièces remplies d’or et de bijoux !

(Voix plus sérieuse) Mais Barbe Bleue était un peu effrayant. Personne ne voulait l’épouser.

(Mimique triste) Le pauvre était tout seul dans son grand château.

Un jour, il invita ses voisins à une grande fête. 

(Mimer des gens qui dansent) Tout le monde s’amusait beaucoup !

La plus jeune fille de ses voisins trouva Barbe Bleue gentil. Elle accepta de l’épouser.

(Ton joyeux) Ils se marièrent et vécurent dans le beau château.

(Voix mystérieuse) Mais un jour, Barbe Bleue dut partir en voyage. 

(Tendre une clé imaginaire) Il donna toutes les clés du château à sa femme.

(Ton sérieux) « Tu peux ouvrir toutes les portes, sauf la petite porte du bout du couloir », dit-il.

(Doigt levé en signe d’interdiction) « C’est interdit ! »

(Ton curieux) Mais la jeune femme était trop curieuse. Elle ouvrit la porte interdite…

(Mimique de surprise et d’effroi) Oh là là ! La pièce était pleine de choses effrayantes !

(Voix grave) Quand Barbe Bleue revint, il se fâcha très fort. 

(Mimer quelqu’un de furieux) Il voulait punir sa femme pour sa désobéissance.

(Ton rassurant) Mais les frères de la jeune femme arrivèrent juste à temps pour la sauver !

(Mimer un combat d’épée) Ils se battirent contre le méchant Barbe Bleue.

(Voix douce) À la fin, la jeune femme fut sauvée. Elle partit vivre heureuse avec sa famille.

(Sourire) Et toutes les richesses du château furent partagées avec les gens du village.

(Bâiller) Et voilà, c’est la fin de l’histoire. Il est temps de dormir maintenant, comme la jeune femme dans son nouveau lit douillet…

Le roi Midas et le toucher d’or

Midas et une statuette d'or

(Voix douce et mystérieuse) Il était une fois, il y a très longtemps, un roi nommé Midas. (Faire un geste de couronne sur la tête)

Ce roi adorait plus que tout l’or et les trésors. (Mimer l’action de compter des pièces) Chaque jour, il comptait ses richesses en souriant.

Un beau matin, un drôle de petit homme apparut comme par magie dans son palais. (Faire un geste de « pouf » avec les mains)

(Voix aiguë et enjouée) « Roi Midas, » dit-il, « je peux t’offrir un pouvoir magique. Que désires-tu ? »

(Voix grave et avide) « Je veux que tout ce que je touche se transforme en or ! » s’écria le roi.

(Voix aiguë) « Ton vœu est exaucé ! » dit le petit homme avant de disparaître. (Mimer à nouveau le « pouf »)

Tout excité, le roi Midas toucha une table. (Toucher une surface imaginaire) Et hop ! Elle devint en or ! (Ouvrir grand les yeux, l’air émerveillé)

Il toucha une chaise, puis un vase, et même les fleurs du jardin. (Mimer ces actions) Tout se changeait en or !

(Voix enjouée) « Hourra ! Je suis le roi le plus riche du monde ! » cria Midas.

Mais bientôt, il eut très faim. (Se frotter le ventre) Il prit une pomme, mais dès qu’il la toucha… (Pause dramatique)

(Voix déçue) Elle devint en or ! Il ne pouvait plus manger !

Sa fille vint le voir, inquiète. (Mimer une petite fille qui s’approche) « Papa, que se passe-t-il ? »

(Voix paniquée) « Non, n’approche pas ! » cria le roi. Mais c’était trop tard…

(Voix triste) Dès qu’il la toucha, sa fille adorée se transforma en statue d’or. (Mimer une statue immobile)

(Voix larmoyante) « Oh non ! Que m’arrive-t-il ? Je ne veux plus de ce pouvoir ! » pleura le roi.

Soudain, le petit homme réapparut. (Nouveau « pouf ») 

(Voix douce) « As-tu appris ta leçon, roi Midas ? » demanda-t-il.

(Voix humble) « Oui, l’or n’est pas ce qu’il y a de plus précieux. Ma fille et la vie sont bien plus importantes. »

(Voix rassurante) « Très bien, » dit le petit homme. « Va te laver les mains dans la rivière, et tout redeviendra normal. »

Le roi courut à la rivière, plongea ses mains dans l’eau (mimer l’action), et son pouvoir disparut.

Il retourna vite au palais et serra sa fille dans ses bras. (Mimer un câlin)

(Voix joyeuse) À partir de ce jour, le roi Midas apprécia les vraies richesses de la vie : l’amour et sa famille.

(Voix douce, pour conclure) Et c’est ainsi que se termine l’histoire du roi Midas et son toucher d’or. Bonne nuit, fais de beaux rêves !

(Faire un petit geste de la main pour dire au revoir)

Jack et le haricot magique

Jack et le haricot magique

[Avec une voix douce et calme]

Il était une fois un petit garçon nommé Jack qui vivait avec sa maman. Ils étaient très pauvres et n’avaient presque plus rien à manger.

Un jour, la maman de Jack lui demanda d’aller vendre leur vieille vache au marché. Sur le chemin, Jack rencontra un drôle de monsieur qui lui proposa d’échanger la vache contre des haricots magiques. 

[Voix un peu plus excitée] 

Jack accepta et rentra chez lui tout content. Mais sa maman n’était pas contente du tout ! Elle jeta les haricots par la fenêtre.

Le lendemain matin, surprise ! Un énorme haricot avait poussé pendant la nuit. Il montait si haut qu’on ne voyait pas le sommet.

[Voix mystérieuse]

Jack, curieux, décida de grimper tout en haut. Arrivé au sommet, il découvrit un immense château dans les nuages. 

[Voix chuchotée]

Jack entra doucement dans le château. Il y avait plein de trésors partout ! Mais soudain, il entendit des pas lourds…

[Voix grave]

« Fe fi fo fum ! » gronda un géant. Jack se cacha vite. Le géant avait une poule qui pondait des œufs en or et une harpe magique qui jouait toute seule.

[Voix normale]

Quand le géant s’endormit, Jack prit la poule et la harpe, et redescendit vite le haricot. 

[Voix excitée]

Le géant se réveilla et le poursuivit ! Jack cria à sa maman de couper le haricot avec une hache. Le géant tomba et disparut.

[Voix douce]

Grâce aux trésors magiques, Jack et sa maman ne furent plus jamais pauvres. Et ils vécurent heureux pour toujours.

[En chuchotant]

Maintenant, ferme tes yeux et fais de beaux rêves, comme Jack dans son château dans les nuages.

Tsingory le danseur

Paysage Madagascar

(Commencez d’une voix douce et mystérieuse)
Il était une fois, dans un village lointain de Madagascar, un jeune garçon nommé Tsingory.

(Faites un geste large avec vos bras)
Tsingory adorait danser plus que tout au monde. Du matin au soir, il dansait, dansait, dansait !

(Mimez quelques pas de danse simples)
Tap tap, hop hop, zig zag ! Ses pieds ne s’arrêtaient jamais.

(Prenez une voix plus sérieuse)
Un jour, le chef du village annonça une terrible nouvelle. Des guerriers ennemis allaient attaquer !

(Chuchotez, comme pour partager un secret)
Mais Tsingory eut une idée brillante. Il dit : « Je vais danser pour les distraire ! »

(Voix enjouée, mimez l’excitation)
Le jour de la bataille arriva. Tsingory s’avança courageusement vers les ennemis.

(Faites des mouvements de danse énergiques)
Il se mit à danser comme jamais ! Il tournait, sautait, faisait des pirouettes !

(Voix étonnée)
Les guerriers ennemis étaient tellement fascinés qu’ils en oublièrent de se battre !

(Chuchotez à nouveau)
Ils posèrent leurs armes et se mirent à danser avec Tsingory.

(Voix joyeuse)
Bientôt, tout le monde dansait ensemble ! Il n’y avait plus d’ennemis, juste des amis qui s’amusaient.

(Voix douce et calme pour terminer)
Grâce à sa danse magique, Tsingory avait apporté la paix. Et depuis ce jour, dans son village, on danse pour célébrer l’amitié.

(Faites un dernier petit geste de danse)
Et toi, tu veux danser un peu avant de dormir ?

(Sourire et caresse sur la tête de l’enfant)
Bonne nuit, petit danseur. Fais de beaux rêves !

Le Cheval de Troie

Il était une fois, il y a très longtemps, une grande ville appelée Troie. Cette ville était entourée de grands murs, si hauts qu’on aurait dit qu’ils touchaient le ciel ! (Faire un geste vers le haut avec les mains)

Un jour, des soldats d’un autre pays sont venus. Ils voulaient entrer dans la ville, mais les portes étaient fermées. Ils ont essayé et essayé, mais n’y arrivaient pas. (Mimer l’action de pousser)

Alors, un soldat malin a eu une idée. « Et si on construisait un énorme cheval en bois ? » a-t-il dit. Tous les autres soldats ont trouvé que c’était une super idée !

Pendant des jours et des nuits, ils ont travaillé dur pour construire ce grand cheval. Il était si grand qu’il faisait la taille d’une maison ! (Écarter les bras pour montrer la taille)

Quand le cheval fut terminé, les soldats se sont cachés à l’intérieur. Chut ! Il fallait être très silencieux. (Mettre un doigt sur les lèvres)

Les gens de Troie ont vu ce magnifique cheval devant leurs portes. « Oh, quel beau cadeau ! » ont-ils pensé. Alors, ils ont ouvert les grandes portes et ont fait entrer le cheval dans leur ville.

La nuit, quand tout le monde dormait… (Faire semblant de dormir) les soldats sont sortis tout doucement du cheval. Tip, tap, tip, tap… (Mimer des pas silencieux)

Ils ont ouvert les portes de la ville pour laisser entrer tous leurs amis soldats. Et c’est ainsi qu’ils ont réussi à entrer dans la grande ville de Troie.

Les gens de Troie étaient très surpris quand ils se sont réveillés ! Ils ont appris une leçon importante ce jour-là : il faut toujours faire attention aux cadeaux étranges, même s’ils ont l’air beaux.

Et c’est ainsi que se termine l’histoire du grand cheval de Troie. (Faire un geste de fermeture, comme fermer un livre)

Maintenant, il est temps de fermer les yeux et de faire de beaux rêves, mais pas de chevaux géants, d’accord ? (Sourire et faire un clin d’œil)

Hansel et Gretel

Maison pain d'épices Hansel et Gretel

(Voix douce et chaleureuse) Il était une fois, dans une petite maison au bord de la forêt, deux enfants nommés Hansel et Gretel. (Faire un geste englobant pour montrer la maison)

(Ton triste) Un jour, comme il n’y avait plus assez à manger, leurs parents décidèrent de les emmener dans la forêt. (Mimique inquiète)

(Voix rassurante) Mais Hansel était malin ! Il ramassa plein de petits cailloux blancs. (Mimer le ramassage)

(Voix mystérieuse) Dans la forêt sombre, pendant que leurs parents dormaient, Hansel sema les cailloux. (Mimer le geste de semer)

(Ton excité) Le lendemain matin, grâce aux cailloux qui brillaient au soleil, ils retrouvèrent leur chemin ! (Grands yeux étonnés)

(Voix inquiète) Mais quelques jours plus tard, ils durent retourner dans la forêt. Cette fois, Hansel n’avait que des miettes de pain. (Mimer l’émiettement)

(Ton triste) Oh non ! Les oiseaux mangèrent toutes les miettes. Hansel et Gretel étaient perdus. (Faire une moue triste)

(Voix enjouée) Soudain, ils virent une jolie maison en pain d’épices et en bonbons ! (Grands gestes pour montrer la maison)

(Ton gourmand) Miam miam ! Ils commencèrent à grignoter. (Mimer le grignotage)

(Voix effrayante) Mais c’était la maison d’une méchante sorcière qui voulait les manger ! (Grimace effrayante)

(Ton courageux) Gretel fut très courageuse. Elle poussa la sorcière dans le four ! (Mimer la poussée)

(Voix joyeuse) Les enfants trouvèrent un trésor et rentrèrent chez eux. Leurs parents étaient si heureux de les revoir ! (Grand sourire)

(Ton doux) Et ils vécurent heureux pour toujours, avec plein de bonnes choses à manger. (Caresser doucement le bras de l’enfant)

(Voix apaisante) Maintenant, il est temps de faire dodo, comme Hansel et Gretel dans leur lit douillet. Bonne nuit, mon petit trésor. (Faire un câlin)