Aladdin

Lampe magique Aladdin dans désert

Il était une fois, dans une ville lointaine, un jeune garçon nommé Aladdin.
(Parle doucement, comme si tu révélais un secret)

Aladdin était pauvre, mais il avait un grand cœur. Un jour, un mystérieux magicien vint le voir.
(Prends une voix grave et mystérieuse pour le magicien)
« Mon garçon, j’ai besoin de ton aide pour trouver un trésor magique ! »

Aladdin, curieux, accepta. Ils marchèrent longtemps dans le désert.
(Fais semblant de marcher sur place)

Enfin, ils arrivèrent devant une grotte cachée. Le magicien dit :
« Entre et rapporte-moi la lampe magique. Mais ne touche à rien d’autre ! »

Aladdin entra dans la grotte sombre.
(Fais de grands yeux, comme si tu regardais autour de toi)
Il y avait des trésors partout ! Des pièces d’or, des bijoux brillants…

Mais Aladdin se rappela ce que le magicien avait dit. Il trouva la vieille lampe et ressortit.

Le magicien, impatient, cria :
« Donne-moi la lampe ! »
(Prends une voix forte et énervée)

Mais Aladdin n’aimait pas son ton. Il refusa.
Furieux, le magicien ferma l’entrée de la grotte, piégeant Aladdin à l’intérieur !

(Chuchote) Dans le noir, Aladdin avait peur. Il frotta la lampe pour y voir mieux…

Soudain, un grand génie en sortit !
(Fais un geste d’étonnement)
« Je suis le génie de la lampe. Que désires-tu, maître ? »

Aladdin, surpris, demanda à sortir de la grotte. En un clin d’œil, il était dehors !

Il rentra chez lui avec la lampe magique. Grâce au génie, sa famille ne manqua plus de rien.

Un jour, Aladdin vit la belle princesse du royaume. Il en tomba amoureux.
(Mets tes mains sur ton cœur)

Mais le méchant vizir voulait épouser la princesse. Il ordonna à ses soldats d’arrêter Aladdin !
(Prends un air menaçant)

Heureusement, Aladdin appela le génie. Il devint un prince magnifique !
(Fais semblant d’enfiler une belle tenue)

Il alla voir le roi et demanda la main de la princesse. Le roi accepta, heureux.

Le vizir, furieux, vola la lampe magique ! Il ordonna au génie de l’emmener loin, lui et le palais.
(Fais un geste comme si tu volais quelque chose)

Aladdin ne se découragea pas. Il partit à leur recherche sur un tapis volant.
(Fais semblant de voler)

Après un long voyage, il trouva le palais. Dans un combat difficile, il reprit la lampe au vizir.
(Mime un combat avec une épée imaginaire)

Aladdin libéra le génie, reconnaissant pour son aide.
(Souris gentiment)
« Tu es libre, mon ami ! »

Le génie, heureux, s’envola dans le ciel.

Aladdin et la princesse se marièrent et vécurent heureux pour toujours.
(Termine avec un grand sourire)

Et voilà, c’est la fin de l’histoire. Fais de beaux rêves, mon petit.
(Caresse doucement la tête de l’enfant)

Le magicien d’Oz

Le magicien d
Voici une version adaptée de l’histoire du Magicien d’Oz pour un enfant de 4 ans, à raconter en environ 3 minutes :

Il était une fois une petite fille nommée Dorothy qui vivait au Kansas avec son chien Toto.
(Voix douce, geste de caresser un petit chien)

Un jour, une terrible tornade emporta leur maison dans les airs !
(Voix plus forte, gestes circulaires avec les bras)

Quand la maison atterrit enfin, Dorothy découvrit qu’elle était dans un pays magique.
(Voix pleine d’émerveillement, yeux grands ouverts)

Dorothy rencontra de drôles d’amis : un épouvantail qui voulait un cerveau, un homme en fer qui désirait un cœur, et un lion peureux qui rêvait d’avoir du courage.
(Faire des voix différentes pour chaque personnage)

Ensemble, ils partirent voir le grand Magicien d’Oz pour l’aider à rentrer chez elle.
(Ton enthousiaste, geste d’invitation à les suivre)

Sur le chemin, ils affrontèrent une méchante sorcière.
(Voix effrayante, grimacer)

Mais Dorothy réussit à la vaincre avec de l’eau !
(Ton joyeux, geste de jeter de l’eau)

Le magicien leur donna ce qu’ils désiraient, et Dorothy comprit qu’elle avait toujours eu le pouvoir de rentrer chez elle.
(Voix douce et rassurante)

Elle tapa ses chaussures magiques trois fois et se retrouva au Kansas avec Toto.
(Taper doucement du pied trois fois)

Tout le monde était heureux, et Dorothy était contente d’être de retour à la maison.
(Sourire chaleureux, voix apaisante)

Fin de l’histoire. Fais de beaux rêves !
(Chuchoter, caresser doucement la tête de l’enfant)

L’histoire nouvelle et divertissante du Bonhomme Misère

L
Voici une version adaptée de l’histoire du Bonhomme Misère pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes environ :

Il était une fois, dans un petit village, un homme qu’on appelait Bonhomme Misère.
(Voix douce et mystérieuse, gestes lents)

Misère était très pauvre, mais il avait un grand cœur. Son seul bien était un poirier dans son jardin.
(Montrer la taille d’un arbre avec les bras)

Un jour, Saint Pierre passa par le village. Il demanda l’hospitalité à Misère, qui l’accueillit gentiment.
(Imiter quelqu’un qui frappe à une porte)

Pour le remercier, Saint Pierre lui accorda un vœu. Misère réfléchit et dit :
« Je voudrais que quiconque grimpe dans mon poirier y reste coincé tant que je ne lui dis pas de descendre ! »
(Voix plus forte et enjouée pour Misère)

Saint Pierre accepta, amusé. Quelque temps plus tard, la Mort vint chercher Misère.
(Voix grave et lente pour la Mort)

Malin, Misère demanda à la Mort de lui cueillir une poire avant de partir. La Mort grimpa et resta coincée !
(Mimer quelqu’un qui grimpe)

Misère ne la libéra qu’après qu’elle eut promis de ne jamais revenir le chercher.
(Ton malicieux, clin d’œil)

C’est ainsi que Bonhomme Misère devint immortel. On dit qu’il vit encore aujourd’hui, quelque part…
(Voix douce et mystérieuse comme au début, geste vague vers l’horizon)

Et voilà, c’est la fin de notre histoire ! Fais de beaux rêves, mon petit.
(Caresser doucement la tête de l’enfant)

Ogmios

Ogmios
Voici une version de l’histoire d’Ogmios adaptée pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes :

Il était une fois, dans un pays lointain…
(Voix douce et mystérieuse, gestes amples des bras)

Un géant nommé Ogmios. Il était fort comme dix hommes !
(Gonfler les joues et les biceps)

Mais ce qui rendait Ogmios vraiment spécial, c’était sa voix magique.
(Chuchoter en mettant la main près de la bouche)

Quand il parlait, les gens l’écoutaient, bouche bée.
(Ouvrir grand la bouche, l’air émerveillé)

Un jour, des méchants voulurent attaquer son village.
(Voix grave, froncer les sourcils)

Ogmios dit : « Arrêtez ! Écoutez-moi ! »
(Voix forte et imposante, lever la main)

Sa voix était si belle que les méchants s’arrêtèrent net.
(Faire semblant de se figer sur place)

Ogmios leur raconta des histoires merveilleuses.
(Voix douce et enjouée, gestes animés)

Les méchants, captivés, oublièrent pourquoi ils étaient venus.
(Mimer l’étonnement, bouche ouverte)

À la fin, ils devinrent tous amis !
(Sourire et ouvrir les bras)

Depuis ce jour, Ogmios utilisa sa voix magique pour aider les gens.
(Voix chaleureuse, main sur le cœur)

Et tout le monde vécut heureux et en paix.
(Voix apaisante, fermer doucement les yeux)

Bonne nuit, mon petit. Fais de beaux rêves…
(Chuchoter, caresser doucement la tête de l’enfant)

La petite sirène de Andersen

Petite sirène de Andersen devant un château

Il était une fois, au fond de l’océan bleu… (voix douce et mystérieuse)
Une jolie petite sirène aux cheveux d’or. (faire un geste ondulant pour les cheveux)
Elle adorait nager et chanter de sa voix cristalline. (mimer le fait de nager)

Un jour, elle vit un beau prince sur un bateau. (ouvrir grand les yeux)
Boum ! Une tempête éclata ! (frapper dans ses mains)
Le bateau coula, mais la sirène sauva le prince. (mimer le sauvetage)

La petite sirène voulait devenir humaine, (voix rêveuse)
Pour retrouver son prince charmant.
Elle alla voir la sorcière des mers… (voix grave et inquiétante)

« Je peux te donner des jambes », dit la sorcière, (imiter une voix de sorcière)
« Mais tu perdras ta belle voix ! »
La sirène accepta et but la potion magique. (mimer le fait de boire)

Aïe ! Ses nageoires se transformèrent en jambes. (grimace de douleur)
Elle nagea jusqu’à la plage, près du château du prince.
Mais sans sa voix, comment lui parler ? (expression triste)

Le prince aimait bien la petite sirène muette,
Mais il en épousa une autre. (soupir déçu)
Le cœur brisé, elle retourna dans l’océan. (mimer des larmes)

Ses sœurs l’attendaient, inquiètes. (voix rassurante)
« Nous t’aimons tant ! » dirent-elles en l’enlaçant.
La petite sirène sourit, heureuse d’être rentrée. (grand sourire)

Elle comprit que sa vraie famille était là,
Dans les profondeurs de l’océan bleu. (voix apaisante)
Et elle vécut de belles aventures sous-marines. (mimer le fait de nager joyeusement)

(Terminer en chuchotant) Maintenant, ferme les yeux et rêve de sirènes et d’océans magiques…

La légende du Curupira

La légende du Curupira
Voici une version adaptée de la légende du Curupira pour un enfant de 4 ans, à raconter en 3 minutes :

Il était une fois, dans la grande forêt amazonienne…
(Parler doucement, faire de grands gestes pour montrer l’immensité de la forêt)

Un petit être mystérieux appelé Curupira.
(Voix mystérieuse, yeux grands ouverts)

Il avait les cheveux rouges comme le feu et les pieds à l’envers !
(Montrer vos cheveux, puis vos pieds en les tournant)

Curupira adorait protéger les animaux et les arbres de la forêt.
(Sourire chaleureux, geste d’étreindre un arbre)

Un jour, des chasseurs sont arrivés dans la forêt.
(Voix grave, air sérieux)

Ils voulaient attraper tous les animaux !
(Mimer l’action d’attraper)

Mais Curupira les a entendus.
(Mettre la main à l’oreille, comme pour écouter)

Alors, il a eu une idée maligne.
(Faire un clin d’œil complice)

Il a couru partout dans la forêt avec ses pieds à l’envers.
(Mimer une course rapide)

Les chasseurs ont suivi ses traces… mais dans la mauvaise direction !
(Air confus, pointer du doigt dans différentes directions)

Ils ont tourné en rond pendant des heures et des heures.
(Tourner sur vous-même lentement)

Fatigués et perdus, les chasseurs ont décidé de rentrer chez eux.
(Bailler, air fatigué)

Curupira était très content ! Il avait réussi à protéger ses amis.
(Grand sourire, lever les bras en signe de victoire)

Depuis ce jour, Curupira continue de veiller sur la forêt.
(Voix douce et rassurante)

Et si tu écoutes bien, tu entendras peut-être ses pas la nuit…
(Chuchoter, mettre un doigt sur la bouche)

Maintenant, il est temps de dormir, comme les animaux de la forêt.
(Bailler doucement, fermer les yeux)

Bonne nuit, et fais de beaux rêves !
(Voix très douce, caresser la tête de l’enfant)

Ulysse contre le Cyclope


Il était une fois, le courageux Ulysse et ses amis marins…
(Voix douce et mystérieuse, gestes lents des mains comme des vagues)

Ils naviguaient sur leur grand bateau, quand soudain…
(Ouvrir grand les yeux, ton surpris)
Ils virent une île ! Affamés, ils décidèrent d’y accoster.

Sur l’île vivait un géant Cyclope, avec un seul œil !
(Faire un grand cercle avec les mains autour d’un œil)
Il habitait dans une grotte sombre et effrayante.

Le Cyclope attrapa les amis d’Ulysse pour les manger !
(Voix grave et menaçante, mime d’attraper quelque chose)

Mais Ulysse, malin comme un renard, avait un plan…
(Ton conspirateur, doigt sur le côté du nez)

Il offrit du vin au Cyclope, qui s’endormit profondément.
(Mimer quelqu’un qui boit, puis ronfler bruyamment)

Alors Ulysse et ses amis prirent un grand bâton pointu…
(Mimer tenir un long bâton)
Et paf ! Ils piquèrent l’œil du Cyclope !
(Geste rapide vers l’avant)

« Aïe, aïe, aïe ! » hurla le géant.
(Voix forte et plaintive, mains sur l’œil)

Ulysse et ses amis se cachèrent sous les moutons pour s’échapper.
(Se baisser et faire semblant de se cacher)

Le Cyclope aveugle ne les vit pas partir.
(Mimer quelqu’un qui tâtonne)

Ulysse et ses amis remontèrent vite sur leur bateau.
(Gestes rapides comme pour grimper)

« Au revoir, gros bêta ! » cria Ulysse en partant.
(Ton moqueur, geste de la main)

Et c’est ainsi qu’Ulysse, grâce à son intelligence,
sauva ses amis du méchant Cyclope.
(Voix douce et satisfaite, sourire)

Maintenant, il est temps de dormir, comme le Cyclope après son vin !
(Voix très douce, mimer quelqu’un qui s’endort)

Le chevalier Bayard

Le chevalier Bayard
Il était une fois, dans un grand château fort… (parler doucement, faire un geste large avec les mains)

Un petit garçon nommé Pierre. Il rêvait de devenir un grand chevalier ! (ton enthousiaste)

Tous les jours, Pierre s’entraînait avec une épée en bois.
Il galopait sur son cheval imaginaire. (mimer le galop)

Un jour, le roi chercha un nouveau chevalier pour protéger le royaume.
Pierre, devenu grand et fort, se présenta au château. (se redresser, prendre un air fier)

« Sire, je serai le plus brave de vos chevaliers ! » dit-il. (voix forte et assurée)

Le roi lui confia alors une mission périlleuse :
« Va affronter le terrible dragon qui menace notre village ! » (voix grave du roi)

Pierre enfila son armure, monta sur son cheval, et partit à l’aventure. (mimer l’action de mettre un casque)

Dans la forêt sombre, il entendit un grognement… (faire un son de grognement)
C’était le dragon ! Énorme et effrayant ! (ouvrir grand les yeux)

Mais Pierre n’avait pas peur. Il brandit son épée et cria :
« Dragon ! Je te défie ! » (voix forte et courageuse)

Le combat fut long et difficile… (mimer un combat à l’épée)
Mais grâce à son courage, Pierre réussit à vaincre le dragon !

De retour au château, le roi était si fier qu’il lui donna un nouveau nom :
« Tu seras désormais connu comme le Chevalier Bayard, sans peur et sans reproche ! »

Et c’est ainsi que Pierre devint le plus célèbre chevalier du royaume.
Il vécut de nombreuses aventures, toujours prêt à protéger les plus faibles. (sourire chaleureux)

Alors, quand tu rêveras cette nuit… peut-être que le Chevalier Bayard viendra te protéger ? (voix douce et rassurante)

(Finir en chuchotant) Bonne nuit, petit chevalier…

Les trois mousquetaires

Les trois mousquetaires

Introduction

[Geste : Faire un grand sourire et ouvrir grand les bras comme pour accueillir quelqu’un] « Bonsoir, petit trésor ! Ce soir, je vais te raconter une histoire palpitante de bravoure et d’amitié, l’histoire des trois petits mousquetaires. Sais-tu ce qu’est un mousquetaire ? [Pause, attendre la réponse de l’enfant] C’est un gentil guerrier qui protège les rois et les reines avec son épée et son grand cœur ! »

Début de l’histoire

[Voix douce et curieuse] « Il était une fois, dans un grand et lointain royaume, trois courageux mousquetaires nommés Athos, Porthos, et Aramis. Ils étaient les meilleurs amis du monde et vivaient des aventures extraordinaires pour protéger leur roi. »

[Geste : Mimique de marcher sur place] « Un jour, un jeune garçon nommé d’Artagnan vint les rejoindre. Il était petit mais très courageux et voulait devenir mousquetaire lui aussi ! »

L’intrigue

[Voix basse, comme un secret] « Les quatre amis découvrirent un méchant plan ! Le vilain cardinal et ses gardes voulaient voler la couronne du roi ! »

[Geste : Faire semblant de tenir une épée, regard sérieux] « Athos, Porthos, Aramis, et d’Artagnan décidèrent qu’ils devaient protéger le roi et sa couronne. Ils se préparèrent pour une grande aventure. »

Le climax

[Voix excitante et rapide] « Nos héros rencontrèrent les gardes du méchant cardinal dans une grande forêt. ‘Pour le roi !’ crièrent-ils en brandissant leurs épées. »

[Geste : Faire des mouvements doux de combat avec les mains, comme pour manier une épée imaginaire] « Ils combattirent avec courage et intelligence, esquivant et parant comme de vrais héros ! »

La résolution

[Voix douce et rassurante, sourire] « Grâce à leur bravoure, les mousquetaires réussirent à vaincre les gardes et sauvèrent la couronne. Le roi était tellement heureux et fier d’eux. Il les remercia et leur offrit de délicieux gâteaux au chocolat ! »

Conclusion

[Voix lente et apaisante, geste de fermer doucement un livre imaginaire] « Et c’est ainsi que d’Artagnan devint un mousquetaire, vivant de nombreuses autres aventures avec ses trois nouveaux amis. Ils protégèrent toujours leur roi et leur royaume, unis par une belle amitié. »

[Mimique : Poser le doigt sur la bouche comme pour dire ‘chut’] « Maintenant, il est temps de fermer les yeux et de rêver de grandes aventures, mon petit mousquetaire. Bonne nuit et fais de beaux rêves de courage et d’amitié. »

[Voix très douce et chantonnante, presque un murmure]

« Fin de l’histoire, dors bien et rêve de devenir un brave mousquetaire, tout comme Athos, Porthos, Aramis et le jeune d’Artagnan. Bonne nuit, petit trésor. »

[Geste : Doucement, souffler comme pour éteindre une bougie, signifiant qu’il est temps de dormir.]

Le mystère de Sequana et la rivière enchantée

[L’histoire commence. Le conteur se penche un peu vers l’avant, la voix douce et mystérieuse.]

Il était une fois, au cœur d’une grande forêt en France, une source magique nommée Sequana. C’était un endroit où l’eau jaillissait claire et pure, entourée de fleurs sauvages et de doux bruits de la nature.

[Le conteur ouvre grand les bras pour montrer la grandeur de la forêt, les yeux pétillants d’excitation.]

Cette source n’était pas une source ordinaire, oh non! Elle était la maison de Sequana, la déesse de la rivière, qui veillait sur toutes les créatures vivant dans et autour de l’eau.

[Le conteur place une main sur son cœur, l’expression pleine de tendresse.]

Chaque jour, Sequana chantait pour ses poissons, ses nénuphars et même pour les petits lapins venant boire à sa source. Sa voix était si belle que même les arbres semblaient danser doucement au son de ses mélodies.

[Le conteur bouge doucement ses mains, comme s’il imitait les arbres dansant.]

Mais un jour, un mystère sombre enveloppa la forêt. Les animaux commencèrent à tomber malades, et l’eau ne chantait plus comme avant. Sequana était très inquiète.

[Le conteur fronce les sourcils, montrant l’inquiétude.]

Décidant de sauver sa forêt, Sequana entreprit un long voyage. Elle suivit le cours de la rivière à travers la forêt, cherchant des indices et demandant de l’aide aux créatures de la forêt.

[Le conteur marche sur place, imitant Sequana en train de marcher.]

Après de nombreux jours, elle trouva la cause du mal : un énorme rocher bloquait une partie de la rivière, empêchant l’eau de couler librement.

[Le conteur fait semblant de pousser un lourd objet, grimaçant sous l’effort.]

Avec l’aide de tous ses amis les animaux, Sequana réussit à déplacer le rocher. L’eau se mit à couler à nouveau, chantant joyeusement alors qu’elle parcourait la forêt.

[Le conteur sourit largement, les mains en l’air comme pour célébrer.]

Grâce à la bravoure de Sequana et à la coopération de tous les animaux, la rivière fut sauvée. Les arbres, les fleurs, et les animaux retrouvèrent leur santé et leur bonheur.

[Le conteur écarte les bras, comme pour englober tout le bonheur de la forêt.]

Et c’est ainsi que Sequana, la déesse de la rivière, enseigna à tous l’importance de prendre soin de notre environnement. Chaque créature, grande ou petite, a un rôle à jouer pour garder notre monde beau et sain.

[Le conteur pose un doigt sur ses lèvres, un geste de réflexion profonde.]

Alors, chaque fois que tu bois un verre d’eau, souviens-toi de Sequana et de sa rivière enchantée. Et n’oublie pas de prendre soin de l’eau, car elle est précieuse et magique.

[Le conteur baisse lentement le ton, la voix devient un murmure, comme pour dire bonne nuit.]

Bonne nuit, petit ange. Rêve de rivières qui chantent et de forêts pleines de vie. Et peut-être, dans ton rêve, tu rencontreras Sequana, veillant sur toi.